Pendant leurs études en design de produit à l’Université Laval, Elisabeth Coulombe et Valérie Laliberté constatent l’intérêt des Québécoises et des Québécois pour le compostage… mais aussi ce qui les rebute. C’est ce qui les amène à concevoir TERO, un appareil de compostage facile d’utilisation, qui règle les problèmes d’odeur et de mouches. Elles font appel à un centre collégial de transfert de technologie et engagent un stagiaire en ingénierie, Félix, grâce au programme d'aide à la recherche industrielle. Elles ont ainsi accès à des personnes-ressources et à des logiciels spécialisés. Au final, TERO réduit les matières organiques à 90 % de leur volume et les transforme directement en fertilisant.
Élisabeth Coulombe et Valérie Laliberté constatent l’intérêt des Québécoises et des Québécois pour le compostage… mais aussi ce qui les rebute.
Pourquoi se lancer en entrepreneuriat ? « On se disait […] que si jamais on trouvait quelque chose qui avait vraiment un potentiel on était ouvertes à se lancer [en entreprise] […], et c’est exactement ça qui est arrivé » explique Élisabeth.
Les prix reçus pendant le défi OSEntreprendre serviront à accélérer le début de la production du produit et à peaufiner le matériel médiatique de leur prochaine campagne de sociofinancement.
Entrevue avec Élisabeth et Valérie à l’émission Entrée Principale à ICI Radio-Canada Télé