Maxime Circé passe de la production de sirop d’érable artisanale à l’apiculture. Son but est non seulement de se créer un emploi stimulant, mais surtout de nourrir sa fascination pour les abeilles.
Pendant ses études au Collège d’Alma, Maxime fait plusieurs stages. Il décrit l’importance « d’avoir l’œil » pour gérer les colonies d’abeilles. Il reste aussi à l’affût d’innovations venant des centres de recherche en sciences animales, surtout celles reliées à la génétique des colonies.
Démarrer son entreprise, Miel’O’Max, pendant ses études permet à Maxime de parfaire ses méthodes afin de la construire sur des bases solides. Certains de ses collègues, au sein de sa cohorte, se joignent à son aventure.
Maxime ne se contente pas de produire du miel. « Je veux être au service des abeilles », précise-t-il. Il offre des services d’accompagnement pour veiller à une meilleure gestion de l’apiculture québécoise. Un impact environnemental dont il peut être fier.
Même si Maxime est méticuleux, travaille bien et s’est déjà armé d’un plan d’affaires solide, il se laisse convaincre par sa conjointe Mélissa de participer au défi Osentreprendre. Cela lui ouvre des portes dans un réseau qui ne se limite pas à l’apiculture, mais qui est branché sur une large communauté entrepreneuriale.
